Je travaille depuis le début de la semaine, je suis donc seul et frustré. Je me suis senti tellement excité. Je dois vous en parler - vous ne vous ennuierez pas j'espère ?? ;-))

Eh bien voici ......

Il était 3 heures du vendredi après-midi et mon cœur battait à la hâte avec impatience. J'ai même sauté le dîner pour pouvoir commencer tout de suite. en m'assurant que tout était bien enfermé ... je n'ai pas fait venir un appel inattendu. J'ai fait un strip-tease lent devant le miroir, et j'ai caressé mes seins jusqu'à ce que les mamelons restent debout en dehors. Je commençais vraiment à avoir chaud et je savais que je devais arrêter ça et continuer avec mon plan initial pour vivre une expérience vraiment impuissante.

Après la douche et un peu de maquillage, j'ai enfilé une petite culotte en soie rouge - et c'est tout. Tout d'abord, j'ai attaché mon torse. J'utilise toujours une corde blanche douce tressée de 8mm coupée en 8 mètres de long. Après avoir plié la corde en deux pour la rendre double brin, je l’enroulais autour de ma taille et la tirais fort. Les deux bouts sont ensuite passés entre mes jambes et ont été tirés par-dessus la corde autour de ma taille, puis de nouveau à l'avant par mon entrejambe et attachés.

J'ai tiré doucement sur les 4 brins en roucoulant pour le plaisir que cela m'apportait. Le morceau de corde suivant a également été doublé et passé en boucle sur mon épaule droite pour passer sous mon bras gauche, le faisant passer sous ma poitrine gauche. Les bouts ont ensuite été passés sous ma poitrine droite, autour de mon dos et sur mon épaule gauche jusqu’à la boucle a commencé en dessous et entre mes seins. Après avoir rejoint les boucles, les extrémités ont été abaissées et autour des mèches à ma taille, créant davantage de tension contre mon entrejambe - les cordes y étaient maintenant bien enfouies! Mmm!

Maintenant, je sépare les 2 fils en envoyant un autour de chaque côté et à travers la boucle d’épaule opposée à côté de mes omoplates. J'ai ensuite couru les brins directement dans la boucle de l'autre lame. Maintenant, en tirant assez fort sur les bouts lâches, les boucles ont été dessinées ensemble, les bouts maintenant descendaient droit dans mon dos et étaient fermement attachés à la corde de taille. Cela a tiré sur les 4 "brins de plaisir" et juste se promener dans la pièce a commencé le frisson sensuel. Assis sur le lit, j’enroulai la corde suivante autour de mes chevilles croisées (croisées pour que je ne puisse pas descendre de place) plusieurs fois, puis autour de mes pieds, finissant par serrer la corde entre mes pieds et les attacher confortablement.

De même, j'ai attaché et cintré mes jambes au-dessus et au-dessous des genoux. Mon cœur s'accélérait maintenant alors que ma nouvelle idée de self-bondage allait fonctionner - j'en étais sûr. Maintenant pour le gag! Je voulais un bon jus juteux alors j’ai ramassé la culotte que j’avais mise ce jour-là et je me suis assuré qu’elles étaient bien à l’intérieur, je les ai pliées dans une bourre et je les ai fourrées dans ma bouche contre ma langue, puis j’ai ramassé mon foulard en soie rouge et enroulez-le deux fois autour de l'arrière de ma tête afin qu'il soit bien serré entre mes dents puis attaché à l'arrière.

J'ai essayé de goûter les culottes mais elles étaient trop sèches à présent. Maintenant le moment de vérité était arrivé. Nerveusement, avec enthousiasme, je doublai le court morceau de corde que j'avais préparé et attachai les extrémités ensemble. Le plan était vraiment simple. J'ai pensé que la corde était assez longue pour passer un poignet, la passer sur mon ventre et glisser sur mon autre poignet. Cela devrait tenir mes bras croisés horizontalement derrière mon dos.

Pour me libérer, Je pensais qu'en tirant sur mes poignets et en aspirant mon ventre, je serais capable de rassembler mes poignets et de glisser la boucle de l'un d'eux. Après avoir transformé la corde en une grande boucle, je l’ai repliée de manière à ce que le nœud soit au centre, loin des extrémités. Après tout, je ne voulais pas pouvoir dénouer le nœud, si je savais que je pouvais le détacher, l’atmosphère serait affaibli. Droite? J'ai fait une boucle à une extrémité et y ai mis mon poignet droit.

Je me rengorgeai d'anticipation et de satisfaction alors que je commençais enfin à goûter mon bâillon. Je plaçai mon bras droit dans l’espace entre mon dos et la corde verticale jusqu’à mes cordes de poitrine et passai aussi la corde lâche. Je m'étendis sur le lit et me retournai sur le dos. J'ai posé la corde sur mon ventre et fait une morsure à l'autre bout. Il semblait plus court que prévu alors j'ai poussé mon poignet droit aussi loin que possible vers la gauche et ai tiré le mou. Je devais avoir inconsciemment tiré mon ventre en même temps qu'il me semblait maintenant assez long.

Je me suis un peu recroquevillée pour placer mon bras gauche sous mon dos. J'ai fait des efforts pour atteindre la boucle, mais la boucle a essayé de se fermer. Je me tortillai un peu pour atteindre mon bras gauche et réussis à mettre mon pouce dans la boucle également. Après quelques minutes de plus, je l'avais autour de ma main mais pas à mon poignet. Maintenant quoi? Je me demandais. Puis je remarquai le coin de la table de chevet, je m'y agenouillai, frottai ma corde contre celle-ci et, houray, elle glissa le reste du chemin sur mon poignet et la saisit. Je me laissai tomber sur le lit, transpirant maintenant assez librement. Je testai mes liens doucement, pensant toujours bêtement que je pouvais me libérer à tout moment.

Je me tordais et me délectais de mes liens en essayant désespérément de resserrer les cordes d'entrejambe et de sucer le goût âcre de mon panty gag. Je me suis arrêté plusieurs fois devant une extase orgasmique, mais les périodes de repos s'allongeaient chaque fois que je m'approchais de cet instant tant attendu, je me regardais dans le miroir géant et imaginais que j'avais été laissé attaché et bâillonné par des cambrioleurs (encore! ). J'ai tant lutté que j'ai perdu l'équilibre et que je suis tombé du lit avec un bruit sourd. Indemne, j'ai repris ma lutte imaginaire, c'est alors que la première vague est venue sur moi et alors que je me tenais contre mes liens, j'ai été dévastée par une seconde vague massive qui a fait trembler mon corps de manière crispée.

Ma respiration est progressivement revenue à la normale et mon pouls a ralenti alors que je revenais à la réalité, je me suis retourné dans une position telle que je pouvais voir l'horloge et j'étais ravi de voir qu'il était presque 19 heures. J'étais lié depuis environ 3 heures. Je me suis déplacé plutôt délicatement maintenant que la même corde qui m'avait procuré tant de plaisir maintenant enfoui dans ma chatte humide. Il est temps de se déchaîner, me dis-je, mais pensais sérieusement à NE JAMAIS enlever le bâillon. Mmm! J'ai tiré sur mes poignets, mais mes mains ne se sont pas rapprochées l'une de l'autre. J'ai sucé mon ventre mais je n'ai gagné qu'un centimètre ou deux au maximum. J'étais coincé! J'ai tiré plus fortement mais cela ne m'a fait que mal aux poignets. La panique s'installa. Mon esprit parcourut toutes les possibilités alors que mon cœur battait à tout rompre pour me tirer la poitrine. Je m'efforçai d'atteindre la porte fermée et parvins à m'asseoir.

En regardant mes chevilles croisées, je savais que je ne serais pas capable de me tenir debout. Je scrutai frénétiquement la pièce à la recherche de quelque chose pour couper ou pour accrocher la boucle et tirer la corde de mes poignets douloureux. Alors - sonne! bague! - bague! bague! - bague! bague! J'étais le téléphone. Je ne sais pas comment j'ai empêché de crier, je n'avais presque jamais été aussi surpris de ma vie. Ensuite, j'ai pu entendre ma voix sur le répondeur qui disait que personne n'était à la maison, puis j'ai entendu Dave dire bonjour et pourquoi je ne suis pas chez moi?

Si seulement j'avais pu avoir le téléphone, pensai-je, mais il n'y avait aucune chance de le faire. Je pensais qu'il était préférable d'essayer de retourner sur le lit. Au moins, je pourrais alors m'asseoir, avec un peu de difficulté et peut-être que je pourrais relâcher les cordes de cette façon. Je suis donc reparti à nouveau en frétillant et en frôlant mon chemin pour retourner au lit, puis me suis agenouillé et finalement sur le lit en tombant épuisé. Ensuite. Pop! Je me suis rendu compte que la tension dans les cordes s'était relâchée et que mon poignet était assez relâché pour le faire trembler. Avec un grand soulagement, j'ai finalement réussi à desserrer mes liens et à me masser les poignets maintenant ils étaient libres. alors il suffisait de relâcher le reste de mon corps ligoté.

Inutile de dire qu'un long bain chaud dans le bain était un luxe absolu. Après tout ça.

J'espère que vous avez apprécié mon expérience. Faites que cela soit une leçon pour nous tous. Faites attention ! Bien sûr, je me lierai de nouveau à l'occasion car j'apprécie tellement.....

QUELQUES LIENS

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